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L'hypersexualisation

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Un enfant érotisé, est un enfant consommable.

                       Dr Roland Coutanceau,  médecin, psychiatre spécialiste des enfants
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AVERTISSEMENT : Le sujet de l'hypersexualisation est sensible, particulièrement depuis quelques années. Bien que ce site ne contienne aucune image ou vidéo classés au dessus de 14 ans, nous préférons avertir les lecteurs, et surtout les parents et les éducateurs, que le contenu de cette section peut-être perturbant pour des jeunes ou des personnes sensibles.

Ce site, comme nous l'avions déjà expliqué dans l'accueil, n'a pas pour but de vous "faire la morale". Le but est simplement de transmettre des informations différentes qui ne se retrouvent pratiquement jamais dans les médias de masse ou dans les manuels scolaires. La transmission publique de ces informations permettra à tout un chacun de faire des choix mieux éclairés. En effet, comment est-il possible pour des parents, des éducateurs (et les autorités), de transmettre une éducation saine à des enfants et des adolescents, si certaines données cruciales sont occultées? Un telle situation de censure est anormale et dangereuse pour la science, et donc pour la société. Il est nécessaire de la corriger de toute urgence. Il en va des 3 santés de nos enfants!

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Il est aussi important de comprendre que la définition de ce qu'est la sexualisation (et l'hypersexualisation) est perçu différemment d’une personne à l’autre. Que ce soit par un intervenant, un jeune, un parent, un enseignant ou un professionnel de la santé, la définition de l'hypersexualisation n’est assujetti à aucune norme empirique et encore moins à des lois. Aujourd'hui, les spécialistes de la question ont beaucoup de mal à se mettre d'accord pour une définition unique de l'hypersexualisation. La raison de cet état de fait est que le slogan "il faut évoluer" contamine les consciences au point même de leur masquer qu'il pourrait s'agir en fait, d'une "involution". En effet, de plus en plus de gens ressentent dans leur cœur, que cet empressement à érotiser et hypersexualiser (érotisé) les jeunes n'est pas normal.

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Il semblerait, selon mes recherches, que le motif "d'évolution" social imposé où tous un chacun a sa propre vision de ce qu’est l’érotisation, est plus une confusion générale qu'une "évolution", et constitue ainsi beaucoup plus en une inversion des valeurs traditionnelles qu'en une supposée "évolution".  Même chez les sexologues, par exemple, il existe pratiquement autant de définitions qu’il y a de sexologues. L’absence de définition unique résulte d’un effet assez récent : le relativisme imposé dans les institutions ; et plus particulièrement le relativisme moral. Cette volonté d'imposer un libéralisme au niveau sexuel contredit toutes les données scientifiques ainsi que la vaste majorité de l'histoire des peuples (où le mariage et la chasteté étaient valorisés). Pour ces raisons, une page spéciale intitulée "essai de définition" a été créée dans cette section du site pour vous démontrer que la confusion dans ce domaine est étrangement entretenue...

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Ainsi, cette relativisation de la morale en lien avec la sexualisation est tellement rependue qu'il est impossible qu'elle soit le fruit du seul hasard. Si cette confusion résulte d'emblée d’une idéologie issue d’un certain libéralisme moral hérité des années 60, les années du « peace and love », du Rock & Roll, et de la « révolution tranquille », où le sort de beaucoup de jeunes filles s’est joué sur la banquette arrière des automobiles, la tendance actuelle à l'accélération conduit évidemment dans un mur. Ce relativisme moral a été tellement bien inculqué qu’il fait maintenant partie de notre manière de voir, de penser et d’agir. Il semble malheureusement profondément incrusté dans nos cerveaux.

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Le relativisme moral est maintenant devenu une sorte de norme consensuelle alors que, curieusement, le relativisme est tout à fait à l'opposé de ce qu'est une norme. Le relativisme est plutôt une forme d'anarchie intellectuelle et morale qui s'oppose à tout conformisme. Pour le relativiste moral, il n'existe aucune norme, aucune valeur absolue, tout doit se transformer, évoluer. Ce qui est étrange c'est que les propagandistes de ce relativisme arguent qu'il ne faut pas avoir de norme, mais eux, ont érigé comme norme absolue d'avoir celle de ne pas en avoir. Ne soyons pas dupe, ils ont fabriqué une anti-norme pour carrément en supprimer une autre. Dans les faits, ils ont fabriqué une antimorale et ils l'imposent comme norme sociétale à tous, et maintenant aux jeunes enfants de 4 ans. Il n'y a pas cinquante ans, de tels agissements auraient été indubitablement vus comme de la corruption de mineurs et donc criminels. Cette absence d'une définition unique, pour un sujet aussi pointu, est un curieux paradoxe qui induit une grande confusion dans la population et même chez les experts et ne peut provenir que d'une volonté politique. Mais ne soyons pas dupe, les faits montrent que cette absence de définition unique, et donc de cette anarchie sexuelle, semble être un mécanisme de division familiale. On peut se demander qui a intérêt à cela?!

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Si la confusion la plus grande existe dans ce domaine c’est, d’une part, parce que le sujet est complexe. Car il relève de l’affectivité, des émotions, de la culture, de l’éducation (familiale et sociétale), du nivellement par le bas imposé par le milieu artistique et par l’involution des lois par des lobbys et ONG; et, d’autre part – c’est l’aspect important qui mérite qu’on s’y attarde – selon mes recherches cette simultanéité montre qu'il existe une coordination supra nationale afin d’entretenir et d’étendre ce relativisme à tous les peuples, principalement occidentaux.

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L’histoire humaine nous démontre que lorsqu'un crime survient, il faut toujours regarder à qui profite ce crime. Et c’est sans aucun doute que nous affirmons que l’industrie de la pornographie et de l’érotisme à outrance édicte maints paramètres de ce relativisme moral depuis des décennies. Qu’elle soit artistique, médicale, psychologie, pédagogique ou tout autre science humaine, cette main mise de l’industrie sur tout ce qui concerne la sexualité influence la totalité des productions humaines. Et ici j’insiste pour y inclure la recherche dans les chaires universitaires (souvent financé par des ONG qui semblent détenir des crédits illimités) qui ont toutes été contaminées par le relativisme moral. ce relativisme moral ne provient pas de la science!

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