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Les effets du cannabis

Page ajoutée le 3 novembre 2016
" Tu ne peux être vraiment libre lorsque tu prends une décision si certains individus te cachent des faits. "

Introduction

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Il existe une panoplie de sites ou de livres traitant du sujet des effets physiques et psychologiques du cannabis (marijuana, pot, hachich*, THC, etc.)

 

La plupart sont écrits de telle sorte que le lecteur peut-être incité à consommer tellement certains sites vantent les effets "relaxants" de cette drogue. Très rares sont les ouvrages qui abordent les faits tels que vous les découvrirez dans ce site. En effet, comment peux-tu prendre une décision éclairée, si des faits essentiels sont masqués? Par conséquent, des connaissances plus approfondies à propos de cette substance dangereuse te permettront de bien comprendre dans quoi tu t'embarques si tu consommes de la drogue, ne serait-ce même qu'une seule fois.

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Après avoir lu la page d'accueil de ce site à propos des drogues, tu es en mesure de mieux comprendre certains risques physiques et psychologiques occasionnés par l'usage des drogues, même celles que les adultes te décrivent comme étant "douces". Et c'est justement parce qu'on te dit qu'elles sont "douces" qu'il faut être très méfiant. Particulièrement envers le cannabis (THC). Maintenant que tu sais que toutes les substances dérivées du cannabis peuvent provoquer des psychoses toxiques (une maladie dont on ne guérit vraiment jamais) tu es mieux armé pour prendre une décision sage et logique.

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Mais ces connaissances ne seraient pas complètes si les faits suivants n'étaient pas portés à ton attention.

La consommation régulière de THC (cannabis, pot, marijuana, hachich, etc), si elle ne t'a pas déjà menée à une psychose toxique, comporte son lot d'effets secondaires importants.

 

En voici une liste sommaire :

 

- baisse importante du QI (surtout avant l'âge de 35 ans)

- apathie

- fuite devant les problèmes (minimisation de ceux-ci)

- impuissance sexuelle (chez l'homme)

- diminution ou perte du sens de la réalité

- diminution de l'empathie (psychopathe)

- dépendance

- dépression

- paranoïa

- psychose

- schizophrénie

 

De tels effets secondaires devrait dissuader toute personne "normale" de consommer un tel poison. Or, nous constatons que cela n'est pas toujours le cas. Il faut donc admettre que ces personnes recherchent en réalité autre chose que la drogue, puisque celle-ci ne les satisfait jamais. Si les drogues procuraient une satisfaction raisonnable, les taux de nicotine ou de THC, pour ne citer que ces deux exemples, seraient restés stables depuis les années 60. Or, ce n'est pas le cas. Des doses de plus en plus fortes sont requises par les consommateurs piégés. Il faut donc chercher ailleurs la cause de leur addiction et la source de leur problème. Maintenant nous savons que les consommateurs de drogues ont tous des problèmes affectifs. Par conséquent, nous devons aider ces personnes à trouver le bonheur (par des thérapies et par la recherche d'un but, d'un sens à la vie, etc.), autrement que par les moyens chimiques des drogues.

 

Sites intéressants :

* http://www.cnrtl.fr/definition/hachich

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http://www.rcmp-grc.gc.ca/drugs-drogues/poster-affiche/index-fra.htm

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http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/dossiers/d/medecine-drogues-effets-dependance-961/page/3/

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http://www.canadiensensante.gc.ca/health-sante/addiction/index-fra.php

Le cannabis : première drogue associée aux psychoses

L'augmentation spectaculaire du nombre de psychose toxique associé à la consommation de cannabis (marijuana) survient depuis que la plupart des médias et Justin Trudeau ont choisit de banaliser cette drogue. Nous avons ici une nouvelle confirmation des découvertes de Stanley Milgram qui a prouvé que la majorité de la population suivait les conseils des autorités et cela même si ces conseils vont contre la morale des peuples.

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On a pu voir lors des expériences de Milgram des gens pacifique et doux, provoquer des tortures sur leur semblables. Ces expériences étaient réalisées avec des comédiens, mais les volontaires étudiés ne le savaient pas.

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Curieusement, la consommation d'antipsychotrope par les jeunes a augmenté d'une manière inquiétante depuis la promotion du cannabis par certains politiciens 

 

http://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201704/29/01-5093207-etude-le-pot-legal-plus-tentant-pour-les-ados.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_5093553_article_POS4

 

L'étude précédente sur Internet le démontre bien. Mais par dessus tout, ce qu'il faut savoir à propos de la psychose toxique, c'est qu'on ne s'en sort pas. Même si la médication réussit (ce qui n'est pas toujours le cas) a contrôler votre état, vous resterez toute votre vie fragile. Cet état va vous affecter pour le reste de vos jours. Les gens qui ont vécu ou vivent des épisodes psychotiques ont des emplois plus précaires, moins rémunérés et des relations sociales moins stables et constructives. 

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Voir le lien :

http://www.dependancemontreal.ca/actualites/le-cannabis-premiere-drogue-associee-aux-psychoses

 

 

Le cannabis, première drogue associée aux psychoses

11 février 2014 - dans Actualités

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Depuis le décès d’Alain Magloire, cet itinérant en crise abattu par des policiers le 6 février dernier, l’impact de la consommation de drogues comme le cannabis dans l’apparition de psychose est questionné. Le Dr François Noël, psychiatre en chef de la clinique Cormier-Lafontaine, offre son expertise dans cet article publié par Le Devoir.

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 Le cannabis, première drogue associée aux psychoses

8 février 2014 | Isabelle Paré | Actualités en société

Point besoin de sombrer dans les drogues de synthèse ou les drogues dures pour précipiter un épisode psychotique ou des troubles mentaux chez une personne apparemment saine d’esprit. En fait, la majorité des cas de psychoses et de troubles mentaux associés à la consommation de drogue est liée au cannabis.

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Tel est le portrait tracé par les spécialistes contactés par Le Devoir, dans la foulée de l’enquête publique annoncée par le coroner en chef sur le décès d’Alain Magloire, un itinérant en crise, abattu par les policiers le 6 février dernier. La vie de cet ex-chercheur en biochimie aurait basculé tard dans la vingtaine, après la consommation de drogue dans un rave.

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Si aucun des experts contactés n’affirme d’emblée que la drogue peut déclencher à elle seule la maladie mentale, tous soutiennent que celle-ci offre un terreau fertile à l’apparition de troubles mentaux importants chez des individus présentant une vulnérabilité génétique.

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Le cannabis associé à la psychose


« Des études longitudinales ont prouvé que la consommation de cannabis augmente le risque de schizophrénie et de psychose. Dans ces cas, le lien est lien démontré. Un jeune qui consomme de façon récréative peut développer un trouble s’il a une vulnérabilité, une prédisposition », insiste la Dre Patricia Garel, psychiatre à l’unité interne des jeunes adolescents au CHU Sainte-Justine.

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Cette spécialiste s’inquiète d’ailleurs du nombre accru de jeunes reçus à l’urgence pour psychoses liées à la consommation de drogue. Et surtout, de la diminution de l’âge de ces patients.

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« C’est inquiétant, car plus la consommation commence tôt, plus le risque de psychose est augmenté, et la gravité de la maladie accrue », ajoute cette médecin.

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Mêmes échos au Centre hospitalier de l’Université de Montréal, où la psychiatre Amal Abdel-Baki, chef du programme des jeunes adolescents psychotiques au CHUM, traite chaque année 250 patients affectés de troubles mentaux divers. De ce nombre, le quart consomme de la marijuana.

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« Ce que l’on voit le plus chez les jeunes, ce sont des psychoses induites par le cannabis, à cause de la grande prévalence de la consommation de cannabis. Les psychostimulants sont plus dommageables, mais moins utilisés », affirme cette clinicienne.

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La Dre Abdel-Baki déplore la croyance populaire voulant que seules les drogues dures puissent endommager le cerveau. « Le cannabis est banalisé parce que les parents en ont eux-mêmes consommé. Cette banalisation augmente le risque de déclencher des psychoses tôt dans la vie. La légalisation, ça nous inquiète », avoue la Dre Abdel-Baki, qui observe des cas de consommation dès l’école primaire.

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La majorité des psychoses et des troubles mentaux se développent entre 25 et 35 ans chez les femmes, et entre 15 et 25 ans chez les hommes. Mais de 15 à 20 % surviennent à l’âge adulte. Dans la population, l’incidence de la psychose est assez faible, de 1 à 3 %.

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Départager la part jouée par les drogues dans l’apparition de troubles mentaux est très complexe, compte tenu de la constellation de facteurs qui entrent en jeu dans le déclenchement de ces maladies. Les facteurs génétiques et ceux liés à divers stresseurs sociaux majeurs — dont la drogue — s’entremêlent.

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« Plusieurs maladies mentales sont exacerbées par la consommation de drogue, dont les troubles de la personnalité, les troubles anxieux et la dépression, pas seulement la psychose », ajoute le Dr François Noël, psychiatre en chef de la clinique Cormier-Lafontaine.

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« Les drogues sont des stresseurs majeurs. On peut les comparer aux stresseurs sociaux, comme les guerres, qui ne rendent pas tout le monde malade, mais qui peuvent entraîner des syndromes de stress post-traumatiques graves chez plusieurs personnes », compare la Dre Abdel-Baki.

 

 

 

The Lancet vient de publier une étude sur les dangers du cannabis (THC) :

http://www.thelancet.com/journals/lanpsy/article/PIIS2215-0366(14)00117-5/fulltext

Le pot déclencheur de schizophrénie chez les ados...

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