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Le mythe des drogues "douces"...

1 chance sur 28 millions de gagner à la loto Max et tu y crois à cette chance puisque tu achètes des billets! La loterie pathologique du cannabis est d'environ 1 chance sur 50 de développer une pathologie graves dans les 10 ans! 

Selon l'étude citée dans la présente, si les 8,5 millions de Québécois (es) consommaient de la marijuana moderne (à haut taux de THC), nous pourrions nous retrouver avec 75 000 cas de psychoses toxiques instantanées ou dans un délais de quelques années. Ce qui correspond à un potentiel de 1 sur 109. (Les enfants sont les principales victimes de cette corruption, à plusieurs niveaux...)

« Il faut faire appel aux vertus de la peur en appliquant le "worst case scenario"» (1)

Hans Jonas

« ...on pourrait s'attendre dans les dix prochaines années à une vague sans précédent des cas de schizophrénie chez les jeunes adultes. »

 

Science & Vie,
Février 2013, page 77

"... le cannabis perturbe la maturation des connexions neuronales à l'adolescence"

Dre Daniela Parolaro pharmacologiste à l'Université de l'Insubrie (Italie)

"Le cannabis peut causer le doublement du risque de psychose... à l'âge adulte"*

(*Note: cette partie de l'étude exclue les cas de psychose qui sont instantanées.)
Étude de 2011 de l'Université de Maastricht; Pays-Bas.

"Une fois que le cerveau s'est développé dans une mauvaise direction, on ne peut pas totalement revenir en arrière"

Dr. Raymond Niesink neurotoxicologue à l'Université d'Utrecht, Pays-Bas.

À partir des citations des neurologues et chercheurs cités plus haut, et sachant que des centaines d'enfants au Canada sont victimes d'intoxication au cannabis, en raison de l'irresponsabilité de Justin Trudeau et ses serviteurs (la légalisation a entraîné une explosion du nombre de jeune qui "essaient" les produits du cannabis) et des éducateurs inconscients des risques toxiques et psychoaffectifs que la présence de cette substance dangereuse cause), des milliers de jeunes vont subir dans les années à venir des conséquences souvent irréversibles.

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Cette section s'adresse à tous, aux autorités, aux jeunes et éducateurs. Nous aborderons le sujet controversé du fléau de la drogue. Et plus particulièrement, de celui des drogues dites "douces" que nous explorerons de manière sociologique, médicale et psychologique et, j'insiste, dans un objectif de prévention. Car réparer les dégâts après coup comporte son lot de risques et de coûts qu'il vaut mieux, pour toute société, d'éviter... Concernant la citation d'Hans Jonas ci-dessus, je tiens à préciser que la peur dont il est question ici n'est pas une peur incontrôlée irrationnelle, mais une peur basée sur la science, sur des faits. En fait, il s'agit du même genre de peur qui vous fait regarder des deux côtés de la rue lorsque vous désirez la traverser. Dans les faits, la peur doit être considérée comme un facteur de longévité. Ainsi, vous comprendrez à la fin de la présente en quoi il est impératif de diffuser cette information à tous.

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Vous ne trouverez pas ici une nomenclature détaillée concernant les effets physiologiques de chaque drogue. Ce n'est pas le but du site. D'autres sites bien documentés existent; ils vous seront proposés* afin de parfaire vos connaissances à ce sujet, si tel est votre désir.

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Le thème de la drogue sera analysé dans une perspective sociosanitaire élargie. Le principal objectif de ce site est de vous démontrer que toutes les drogues dîtes "douces", sont en fait dures, très dures. Nous débuterons par le cannabis.

Selon maints sites consultés, les drogues "douces" sont : le tabac, le cannabis (marijuana et haschich) et l'alcool. D'emblée, j'exclurais l'alcool pour des raisons évidentes, car laisser celle-ci parmi la nomenclature des drogues ne sert, à mon avis, qu'à augmenter la confusion en laissant croire que socialement la drogue est acceptable. Mettre l'alcool sur le même pied d'égalité avec la marijuana relève de l'irresponsabilité. Tant qu'à entrer dans ce genre de comparaisons on pourrait ajouter le sucre et la caféine! Mais d'un autre côté, il ne faut pas marginaliser le fait que l'abus d'alcool cause des problèmes physiques et sociaux très importants il ne faut donc pas banaliser sa consommation. Cependant, l'alcool fermenté (surtout le vin) consommée avec grande modération, peut-être bénéfique pour la santé.

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D'ailleurs, cette nomenclature citée dans le paragraphe précédent est aujourd'hui remise en question. Par exemple, on le sait, toutes les drogues dures provoquent une forte dépendance. C'est l'un des critères objectifs de classification. Or, le tabac provoque aussi une forte dépendance. Donc, dans quelle catégorie devons-nous le classer? Et cela est encore plus vrai aujourd'hui car, les manipulations humaines (de sélection et par la génétique) ont fait monter en flèche les taux de nicotine qui est la principale cause de dépendance.

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​On sait que par le passé, une personne, pour devenir dépendante à la cigarette devait fumer plusieurs paquets de cigarettes. Aujourd'hui, un seul paquet de cigarettes cause chez maints jeunes une forte dépendance. Et comme un jeune fumeur peut consommer un paquet en deux jours, il est alors légitime de parler de dépendance quasi instantanée. Dans le cas de la marijuana par exemple, la concentration de THC (tétrahydrocannabinol) aurait augmenté entre 300 % et plus de 1200 % (dans les cas extrêmes) depuis environ 30 ans en raison des travaux de sélection effectués et la culture hydroponique" mais aussi par des procédés de concentration chimico-mécaniques. En effet, dans les années 1960-70, un « joint moyen » contenait 10 mg de THC, actuellement il peut en contenir jusqu'à 150 (Ashton, 2001). On a même retrouvé en Europe du cannabis afghan à 30% de THC. Et récemment, à Montréal, a été saisi une nouvelle huile de marijuana qui contenait 70% de THC (BHO). Autrement dit, la neurotoxicité de la marijuana moderne est incomparablement plus grande aujourd'hui qu'elle ne l'était au temps de Woodstock. Et les vendeurs qui veulent provoquer une addiction rapide et efficace savent comment vous tromper et  ils utilisent ces produits concentrés dans le but évident de se fabriquer une clientèle captive très rapidement. 

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Sources (en trois parties) :

https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2014/revue-medicale-suisse-424/le-cannabis-ne-doit-plus-etre-considere-comme-une-drogue-douce-1

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https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2014/revue-medicale-suisse-426/le-cannabis-ne-doit-plus-etre-considere-comme-une-drogue-douce-2

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https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2014/revue-medicale-suisse-427/le-cannabis-ne-doit-plus-etre-considere-comme-une-drogue-douce-3

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De plus, il faut savoir que si le mythe des drogues "douces" est tenace, c'est qu'il est aussi entretenu par l'industrie du crime (et trop souvent par les idiots utiles qui relaient de fausses informations). Et par idiots utiles ici, je ne parle pas surtout des victimes de la drogue, mais bien de certaines autorités, médias et certains professionnels qui minimisent (par ignorance?) les dangers des drogues dîtes "douces". Il est évident que certains lobbys ont avantage à faire croire que la marijuana est une drogue douce. En effet, en utilisant un mot agréable à l'oreille, on abaisse les défenses psychologiques et intellectuelles de la personne ou de la société cible. Par ce stratagème, on rend plus facilement acceptable ce qui en temps normal serait inacceptable pour l'écrasante majorité des gens. D'ailleurs, les cigarettiers utilisaient ce même stratagème par le passé, en affichant le mot "douce" sur certains paquets de cigarette ainsi que dans leur publicité, et maintenant cela est devenu illégal. Et la raison principale de cette loi anti-cigarette était justement pour stopper la corruption de la jeunesse par ces mensonges publicitaires!

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Évidemment, "l'industrie" de la drogue a aussi avantage à conditionner les gens à simplement essayer la pseudo "douce" marijuana car on le sait, les statistiques le prouvent, près de 100% des consommateurs de cocaïne ont déjà tenté la marijuana auparavant. Évidemment, cela ne signifie pas que tous les consommateurs de marijuana vont faire le saut dans les drogues plus dures. Cela signifie, simplement, que la "mari" est une ouverture dangereuse. Le "pot" est une des portes d'entrée vers des drogues plus fortes et actives, tout comme la cigarette est l'une des portes d'entrée vers la marijuana. Soyons honnête, de drogues douces il n'existe pas de traces. On a qu'à voir comment les gens qui désirent arrêter de fumer la cigarette souffrent! L'excellent reportage de J.E., accessible en cliquant sur le lien ci-dessous, permet de mieux comprendre les dangers de consommer de la marijuana...

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Cliquez ici : Reportage de J. E. 5 octobre 2012

(Retiré des archives par TVA)

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Cette stratégie réductionniste est un véritable cheval de Troie qui corrompt beaucoup de personnes dont les enseignants et principalement les jeunes. Et maintenant, il semble que nos gouvernements hyper endettés vont prendre le relais et particulièrement le parti Libéral du Canada – probablement sous l'égide du très naïf et irresponsable Justin Trudeau – afin de légaliser et même de faire la promotion de la marijuana, une drogue extrêmement dangereuse. Si une certaine dépénalisation peut-être acceptable, par exemple, de ne pas envoyer en prison des gens pour possession simple, il en va autrement de la décriminalisation ou de la légalisation demandé par les libéraux, le NPD et le Bloc Pot (ce qui équivaut à une étatisation de la marijuana). S'il est nécessaire d'user de prudence afin de ne pas faire le jeu des organisations criminelles, d'une part, il ne faut pas, d'une autre part, placer le gouvernement et les autorités dans une situation d'approbation d'un produit toxique.

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Vous avez des doutes? Peut-être certains (es) d'entre vous, qui ont déjà consommé, diront que cela est un peu trop paternaliste, moralisateur, voire exagéré?! Alors, en lisant la suite, vous serez à même de comprendre que vous jouez à la roulette russe en consommant de la marijuana et autres drogues... Mais surtout vous découvrirez qu'utiliser le terme "drogues douces" est une forme de corruption de la jeunesse!

Maintenant il est temps de passer à l'action!

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Une découverte majeure a eu lieu en 2004 aux États-Unis. Un chercheur à l'Université (...) a découvert une variante de maladie déjà connues, les porphyries. Les porphyries sont des maladies génétiques connues. L'une des variantes de ces maladies est la protoporphyrie érythropoïétique (PPE ou EPP en anglais).

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C'est une sous variante qui a été découverte, la PPEM (le "M" signifie "masquée" ou MEPP "masked" en anglais). Elle est moins grave que la maladie originale (PPE) bien connue des médecins. Cependant, comme elle est "masquée" elle occasionne de graves problèmes aux personnes porteuses des gènes déficients, problèmes qui touchent particulièrement le foie et le cerveau. Cela en raison des mêmes contre-indications que doivent respecter scrupuleusement les personnes atteintes de l'une des maladies originales (la PPE). Mais comme les personnes "PPEM" ignorent qu'elles sont porteuses et qu'elles semblent asymptomatiques, mais en apparence seulement (les symptômes étant plus difficilement et plus tardivement détectables), ces personnes s'intoxiquent à petit feu jusqu'à l'âge d'environ 40 ans où les problèmes commencent à sérieusement déranger l'entourage. (Dans certains cas les manifestations pathologiques de la PPEM peuvent apparaître bien avant l'âge de 40 ans).

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Donc, pendant la période de 25 à 60 ans, les personnes atteintes peuvent vivre des problèmes comparables aux personnes bipolaires. Ces personnes finissent généralement sur les antidépresseurs qui, dans certains cas, aggravent leur état, et cela parce que les médecins ignorent l'existence même de la "PPEM". Puis, cette maladie inguérissable dégénère souvent en cancer du foie vers l'âge de 60 ans environ.

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Ce chercheur a fait analyser génétiquement des échantillons de sang (à l'université du Cardiff en Angleterre) de personnes ayant certains des symptômes de la PPE à partir de 40 ans. Puis, des analyses génétiques statistiques ont été effectuées. Les résultats sont terrifiants. 75000 personnes au Québec ont, à divers degrés, la sous variante PPEM sans le savoir. Et, comme toute publication médicale est longue et coûteuse, et qu'une université américaine ne paiera pas pour des échantillons provenant de patients du Québec, nous ne sommes pas à la veille d'être épaulés! Vous l'aurez compris, outre la dénonciation du sophisme de la drogue "douce", l'un des buts de ce site est de permettre aux médecins du Québec de faire leurs propres recherches.

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En raison de la menace prochaine de légalisation de la marijuana, j'ai demandé à cette médecin de me permettre de publier certaines de ses données. Elle a généreusement accepté que je publie sa découverte exceptionnelle ainsi que la statistique de recherche. Je l'en remercie beaucoup. Face à la menace sociosanitaire qui pèse sur nos pays, nous taire aurait été, à mon avis, un acte de complicité criminelle.

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Maintenant, vous allez me dire, "mais quel est le rapport entre la PPEM avec la drogue?". Et bien, je vous parlais plus avant de contre-indications pour les porphyriques. Il faut savoir que la première contre-indication pour les personnes atteintes de porphyrie (et les PPEM) est... la marijuana.

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Dans leur cas cette contre-indication est absolue. JAMAIS, sous aucun prétexte ils ne doivent toucher à la marijuana ou à ses dérivés!

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Un seul joint de marijuana peut entraîner chez les personnes atteintes de PPE et de PPEM, une psychose toxique instantanée (qui malheureusement mène trop souvent à la schizophrénie). D'ailleurs, cette découverte permet d'expliquer un mystère qui préoccupe les chercheurs depuis des décennies, soit pourquoi environ de 4 à 7 % de la population peut développer cette pathologie mentales (à différents niveaux) et dans certains cas, en ayant consommé un seul joint de marijuana. Évidemment les risques augmentent avec la consommation. Je connais personnellement plusieurs cas de ce type.

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Il faut admettre qu'il est possible aussi que la PPEM ne soit pas la seule responsable de tout ces cas. (Note: Lors d'une entrevue au FM 93 à Québec le 4 septembre 2013, l'intervenant en toxicomanie, Jacques Latulippe, a affirmé que 19% de la population va, un jour ou l'autre, développer une pathologie mentale en lien avec la consommation de la marijuana. Ce n'est qu'une question de temps.

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Barrière psychologique

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Actuellement, des recherches en psychologie ont montré que le principal facteur qui retient maints jeunes (et moins jeunes) de consommer cette drogue, est justement en raison de la barrière psychologique causée par les autorités, principalement parentales, sanitaires et judiciaires, ainsi qu'en raison des avertissements médicaux à propos des dangers physiologiques d'essayer toute drogue. Nous vérifions à nouveau ici l'extraordinaire pertinence des découvertes de Stanley Milgram.

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Source:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram

http://fr.wikipedia.org/wiki/Stanley_Milgram

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Par conséquent, la minimisation, l'arrêt voire la neutralisation psychologique des mises en garde, par la légalisation ou la décriminalisation de la marijuana, entraînera une multitude de jeunes et moins jeunes à simplement essayer cette drogue dangereuse. Par le fait même, la décriminalisation de la marijuana, et l'effet de domino que cela provoquera, sera une autre occasion de corruption de notre jeunesse déjà durement éprouvée par les inepties et incohérences des adultes. Pire encore, il est à craindre que toute une population d'adultes qui avait fait preuve de réserve jusqu'alors, soit aussi tentée d'essayer la marijuana...

 

l'Humain est une être social!

« ...on pourrait s'attendre dans les dix prochaines années à une vague sans précédent des cas de schizophrénie chez les
jeunes adultes. »
Science & Vie, février 2013, page 77.

Enquête : Science & Vie février 2013 page 70 à 77

Pour être plus directe, la légalisation de la marijuana fera exploser les cas de maladies mentales (dépression, psychose, schizophrénie, etc) au Canada, comme ce fut le cas en Hollande, pays d'où les porphyries se seraient propagées dans le monde lors de la colonisation. D'ailleurs, l'Afrique du Sud, pays où la colonisation hollandaise fut importante, a au prorata, plus de cas de PPE (et donc de PPEM). Par conséquent, en raison des problèmes que cause la marijuana, plusieurs politiciens et médecins hollandais travaillent à faire interdire à nouveau cette drogue depuis plus de 3 ans... Ils ont réussi à la faire interdire pour les touristes. Ainsi, on ne peut plus aller à Amsterdam pour fumer un joint. Ces mêmes médecins travaillent maintenant à faire interdire la marijuana dans tout les pays. Mais la tâche est complexe et les Pays Bas découvrent avec horreur qu'ils n'auraient jamais du légaliser la marijuana dans la ville d'Amsterdam (dans le reste du pays cette drogue a toujours été interdite). On le sait aujourd'hui, un étrange lobby de politicien et de hauts fonctionnaires (ainsi qu'un médecin chercheur migrant de l'Université Mc Gill à Montréal) de ce pays travaille sournoisement à masquer au monde les effets pathologiques de cette drogue par tous les moyens possibles et imaginables. Pour employer une expression bien Québécoise, on voit bien par l'exemple de ce pays que "lorsque l'on se met le bras dans le tordeur, il est difficile de l'en retirer par la suite" (expression utilisée par le syndicaliste Gérald Larose lors d'une émission télévisée au sujet de l'accord de libre échange canado-américain des années 80). Soyez assuré que la légalisation du cannabis au Canada est l'équivalent de se mettre le bras dans le tordeur!

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Mais il y a pire encore...

De récentes recherches statistiques (en Inde) montrent que la consommation de marijuana serait mutagène, atavique et potentiellement tératogène. Cela est extrêmement grave. La mutagénèse observée serait liée au fait que plus un individu aurait des ancêtres consommateurs de marijuana dans sa lignée, plus il aurait de chance de développer une maladie mentale en consommant lui aussi la même substance. Elle permet aussi d'expliquer pourquoi chez les autochtones des Amériques, que la génération des sorciers (ceux qui communiquaient avec les esprits) était souvent une affaire familiale. Cette découverte majeure est effroyable car elle pourrait signifier la dégénérescence sociale et génétique d'un peuple si un tel produit devient banalisé et par le fait même popularisé.

Il s'agit donc ici d'un problème sociosanitaire de grande envergure qui se prépare pour le Canada et que nous devons à tout prix éviter en travaillant maintenant auprès des autorités pour que la marijuana ne soit JAMAIS DÉCRIMINALISÉE OU LÉGALE au Canada!

Car, une fois cette boîte de pandore ouverte, il n'y aura pas de retour possible en arrière puisque cette nouvelle dépendance aura corrompu (abaisser les défenses morales) et déclenché des maladies mentales irréversibles chez des dizaines de milliers de jeunes et d'adultes. Sans compter que beaucoup de ceux-ci, par désir épicurien, extrapoleront la décriminalisation de la marijuana aux autres drogues. De plus, la décriminalisation du cannabis par l'autorité suprême au Canada aura comme impact d'anéantir l'autorité parentale face à maints jeunes qui y verront une occasion de renforcer leur position d'enfant tyran (la vraie dénomination de "l'enfant roi"). Ainsi, la fratrie se trouvera menacé par cette réaction en chaîne déstructurante. Ajoutons à cette catastrophe potentielle, tout le travail de prévention des policiers et policières depuis des décennies auprès des jeunes, qui s'en trouvera anéantis par une signature de quelques secondes de politiciens totalement irresponsables. Maintenant, je n'ai pas le choix, je dois vous avouer , au sujet de "l'irresponsabilité" de Justin Trudeau que je mentionnais, je crois qu'il ne s'agit pas seulement d'irresponsabilité, mais bien d'intérêt.

Pour conclure, je vous recommande fortement de lire la revue Science & Vie de février 2013 (page 70 à 77), qui a produit un article dévastateur au sujet de la marijuana :

Enquête :

Schizophrénie, baisse de QI, dépression...

Les dégâts irréversibles du cannabis... de quoi en finir avec l'idée d'une drogue douce

Je vous cite quelques paragraphes de cet excellent article dont les recherches sont à la fine pointe des nouvelles découvertes médicales :

 

"... le cannabis perturbe la maturation des connexions neuronales à l'adolescence"

Dre Daniela Parolaro pharmacologiste à l'Université de l'Insubrie (Italie)

 

"Le cannabis peut causer le doublement du risque de psychose... à l'âge adulte"*

Étude de 2011 de l'Université de Maastricht; Pays-Bas.

(*Note: cette partie de l'étude exclue les cas de psychose qui sont instantanées.)

 

"Une fois que le cerveau s'est développé dans une mauvaise direction, on ne peut pas totalement revenir en arrière"

Dr. Raymond Niesink neurotoxicologue à l'Université d'Utrecht, Pays-Bas.

 

"Le mouvement mondial « pour la marijuana libre » ressemble à une expérimentation sur les nations..."

Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2013_06_04/Les-legislateurs-experimentent-avec-la-marijuana-legalisee-7334/

Pour conclure ce chapitre, il est important de savoir et de comprendre que la consommation de drogue (ou d'alcool) ne résout jamais rien, au contraire. La consommation de drogue n'est qu'un leurre qui temporairement donne l'impression d'être libéré de certains problèmes (il en est de même pour la consommation abusive de l'alcool). Mais en réalité, la personne qui consomme en pensant régler ses problèmes, s'enfonce encore plus et les amplifie et par le fait même, augmente sa souffrances. Il faut plutôt chercher à régler les problèmes à la source et non tenter de les masquer sous la chape de plomb de la drogue ou de les noyer dans l'alcool. De plus, non seulement la consommation amplifie les troubles déjà existant mais le corps, par accoutumance, demande des doses de plus en plus importantes, ce qui entraîne indubitablement des pathologies gravissimes, voire la mort.

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Si certains sites ou personnes osent parler des effets relaxants de certaines drogues, soyez assuré que cela ne représente pas la réalité. Car, ces sites ne mentionnent pas les "down" qui suivent toute consommation de drogues ou toute consommation élevé d'alcool. Ces "down" n'apportent qu'angoisse et souffrance. Par le fait même, ces "down" participent à créer une puissante dépendance psychologique, et dans certains cas physique. Si, on dit, dans le jargon des A.A., qu'une personne alcoolique dérange 40 personnes autour d'elle. Soyez assuré que dans le cas des drogués, le problème est pire encore!

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Bref, si dans le cas de l'alcool, l'expression "La modération a bien meilleur goût" représente bien la réalité... dans le cas de toute drogue, il n'existe pas de "modération". Par conséquent, le choix le plus sensé est de ne jamais essayer, même par curiosité. Personnellement je n'ai jamais touché ni à la cigarette et encore moins à la drogue, et aujourd'hui je ne regrette rien, au contraire, c'est un sujet de fierté. Le meilleur conseil que je peux vous donner aujourd'hui : " N'essayez jamais aucune drogue". Si des amis vous en proposent, alors ce ne sont pas de vrais amis!

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Christian Duchesne

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(1) Cette citation a été employée par Hans Jonas, dans le dossier des OGM. Si je la cite ici c'est qu'à mon avis, elle s'applique parfaitement à l'idée que je désire exprimer dans cet article contre les drogues.

 

(Parenthèse importante)

Toxicité des drogues « douces »

Ici j’ouvre une parenthèse importante pour répondre à l’avance à un argument qui surviendra tôt ou tard. En effet, certains pourraient affirmer qu’en dévoilant cette nouvelle découverte (du lien toxique entre la PPEM et les drogues de type marijuana), on contribuera à rendre plus acceptable la décriminalisation de la marijuana.

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Par exemple, les pro-marijuanas pourraient faire des pressions auprès des centres de la recherche médicale afin de produire un test fiable et rapide de détection des anomalies PPE et ou PPEM (avec pour conséquence d’encourager l’hédonisme qui occasionne toujours plus de coût, et qui, il faut le crier, paralyse nos systèmes de santé). Ce faisant, les porteurs de l'anomalie génétique pourraient avoir accès à un test de dépistage et ainsi être dans la possibilité de se protéger par l'abstinence. Les pro-marijuanas auraient là un argument puissant en faveur de la décriminalisation, voire de la légalisation complète de ces types de drogue.

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Cependant, cet argument serait valable si, et seulement si, tous les cas de psychose instantanée (et autres pathologies du cerveau) étaient le fait de la consommation de marijuana ou de ses dérivés ou encore étaient le fait des seuls porteurs des gènes déficients de la PPEM. Or, la découverte statistique que 75 000 Québécois seraient porteurs du gène problématique (qui conditionne l’enzyme ferrochélatase) ne représente qu’un peu moins de 1% des cas de psychoses toxiques. Comme, les statistiques le prouvent, de 4 à 7% de la population possède, à divers degrés, une sensibilité toxique accrue à ces drogues. Par conséquent, les 3 à 6% restant sont toujours non expliqués.

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J’ajoute qu’il est possible, en raison des preuves apportées par Stanley Milgram, que cet écart entre le 4% et le 7% en certains milieux soit justement une catégorie de personne qui, par obéissance aux diverses autorités, a toujours refusé d’essayer la marijuana ou d’autres drogues. Donc, il s'agit ici d'un biais statistique en faveur des anti-cannabis. C'est donc en raison des découvertes de Milgram que nous pouvons affirmer, sans l'ombre d'un doute, que la légalisation de la marijuana sera une catastrophe sociosanitaire sans précédent dans l'histoire du Canada. Notez aussi que selon Statistique Canada, seulement 9,1% des jeunes ont consommé de la marijuana en 2011. Ce chiffre, curieusement, contraste beaucoup avec ceux que l'on voit régulièrement sortir dans les médias.

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Source :

Français

http://www.hc-sc.gc.ca/hc-ps/drugs-drogues/stat/index-fra.php

English

http://www.hc-sc.gc.ca/hc-ps/drugs-drogues/stat/index-eng.php

De plus, des recherches en Inde tendent à montrer que la consommation de ces drogues serait potentiellement tératogène, mutagène, voire même atavique.(1)

Donc, à nouveau, par principe de prudence élémentaire, je réitère l’avertissement solennel : l’abstinence face aux drogues est la seule solution logique et parfaitement sécuritaire et doit être une priorité de tous.

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English version : http://www.anticorruptiontranquille.ca/index.php/lesdrogues/english-version

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Références :

http://www.chups.jussieu.fr/polys/biochimie/CNbioch/POLY.Chp.10.4.&Ext.121.html

http://dictionnaire.academie-medecine.fr/?q=synth%C3%A9tase

(1) La porphyrie mixte concerne essentiellement les populations d’Afrique du Sud, d'origine hollandaise, descendant d'un même ancêtre, Berrit Janitz, émigré de Hollande au XVIIe siècle.

(Fin de la parenthèse)

Sites d'intérêts:

http://additifstabac.free.fr/index.php/cigarettes-pourcentages-additifs-taux-nicotine-goudrons-monoxyde-carbone-co/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicotine

http://www.porphyrie.net/professionnels-14-porphyries-et-medicaments.html

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/06/14/20775-cannabis-est-aussi-nocif-pour-coeur

http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201502/10/01-4842839-quand-le-pot-mene-a-lhopital.php

 

* Sites au sujet des drogues :

Avertissement: après une recherche dans des dizaines de sites et de livres, il appert que certains d'entre eux qui se décrivent comme anti-drogues, sont en fait d'habiles promotions de celles-ci. Par exemple, le nouveau livre "Exploration drogue : premier contact" d'Alain Roy surnommé monsieur drogue est l'un de ceux là. Vous retrouverez une critique de ce livre dans l'onglet drogue: Témoignage

Les sites proposés ci-dessous sont les plus prudents que j'ai trouvé à date. Si vous aviez d'autres propositions, n'hésitez pas à me les transmettre dans la section contact du présent site.

Gendarmerie Royale du Canada (GRC)

http://www.rcmp-grc.gc.ca/drugs-drogues/poster-affiche/index-fra.htm

http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/dossiers/d/medecine-drogues-effets-dependance-961/page/3/

http://www.canadiensensante.gc.ca/health-sante/addiction/index-fra.php

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